| ... | @@ -60,7 +60,14 @@ La part du bâti léger dans le total des surfaces urbanisées varie plus fortem |
... | @@ -60,7 +60,14 @@ La part du bâti léger dans le total des surfaces urbanisées varie plus fortem |
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 graphique en barres : Emprise au sol du bâti en hectare PCI 2019)
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 graphique en barres : Emprise au sol du bâti en hectare PCI 2019)
|
|
|
|
|
|
|
|
Le rural et la périphérie des grands centres de la région concentrent plus de 70% du bâti léger de la région
|
|
Le rural et la périphérie des grands centres de la région concentrent plus de 70% du bâti léger de la région
|
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 carte communale : Part des constuctions légères dans l'ensemble du bâti-PCI 2019)
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 carte communale : Part des constructions légères dans l'ensemble du bâti-PCI 2019)
|
|
|
|
|
|
|
|
## La densité du bâti est synonyme de densité de population.
|
|
|
|
|
|
|
|
La part du bâti dur et léger dans la surface communale constitue un indicateur de densité. En Pays-de-la-Loire au 1er janvier 2017, 1,36% du territoire est occupé par du bâti (1,13% pour du bâti dur et 0,23% pour du bâti léger). Cinq ans plus tôt au 1er janvier 2012, 1,28% du territoire était occupé par du bâti (1,07% pour du bâti dur et 0,21% pour du bâti léger). Au niveau départemental, ce poids de l'emprise au sol du bâti fluctue du simple au double entre la Mayenne (0,95% du département) et la Loire-Atlantique (1,81%). Le caractère dense d'une commune s'explique à la fois par la topographie et l'histoire. En Brière, la commune de Saint-Joachim, en grande partie recouverte de marais, est ainsi très peu dense. Par ailleurs, l'attractivité des agglomérations et, plus récemment, des communes proches du littoral explique qu'elles soient plus construites que d'autres. Outre de nombreux logements, les agglomérations abritent des bureaux, des centres commerciaux, des services administratifs, des infrastructures de loisirs, etc. Sur le littoral, l'attractivité de la mer explique la densification de l'espace disponible.Les quatre communes les plus denses sont les Sables-d'Olonne (17.9%), suivie de Nantes (17.7%), Montaigu (15.6%) et Le Mans(15,3%). A l'inverse, les quatre communes les moins denses (moins de 0,3%) sont la-Breille-les-Pins dans le Maine et Loire, La Bosse dans le Perche et la commune boisée de Château-l'Hermitage au sud du Mans.
|
|
|
|
|
|
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 graphique en 6 barres - région + 5 départements : part du bâti dur et léger dans la surface départementale et régionale, en 2019 - PCI 2019)
|
|
|
|
[comment]: <> (ajouter 1 carte communale : part du bâti dans la surface communale 2019)
|
|
|
|
|
|
|
|
# 2. Un territoire plus artificialisé que la moyenne régionale
|
|
# 2. Un territoire plus artificialisé que la moyenne régionale
|
|
|
|
|
|
| ... | @@ -77,9 +84,6 @@ Les Pays de la Loire sont ainsi la seconde région à s’être la plus artifici |
... | @@ -77,9 +84,6 @@ Les Pays de la Loire sont ainsi la seconde région à s’être la plus artifici |
|
|
|
|
|
|
|
[comment]: <> (chiffres des commentaires à suivre à mettre à jour)
|
|
[comment]: <> (chiffres des commentaires à suivre à mettre à jour)
|
|
|
|
|
|
|
|
## La densité du bâti est synonyme de densité de population.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
La part du bâti dur et léger dans la surface communale constitue un indicateur de densité. En Pays-de-la-Loire au 1er janvier 2017, 1,36% du territoire est occupé par du bâti (1,13% pour du bâti dur et 0,23% pour du bâti léger). Cinq ans plus tôt au 1er janvier 2012, 1,28% du territoire était occupé par du bâti (1,07% pour du bâti dur et 0,21% pour du bâti léger). Au niveau départemental, ce poids de l'emprise au sol du bâti fluctue du simple au double entre la Mayenne (0,95% du département) et la Loire-Atlantique (1,81%). Le caractère dense d'une commune s'explique à la fois par la topographie et l'histoire. En Brière, la commune de Saint-Joachim, en grande partie recouverte de marais, est ainsi très peu dense. Par ailleurs, l'attractivité des agglomérations et, plus récemment, des communes proches du littoral explique qu'elles soient plus construites que d'autres. Outre de nombreux logements, les agglomérations abritent des bureaux, des centres commerciaux, des services administratifs, des infrastructures de loisirs, etc. Sur le littoral, l'attractivité de la mer explique la densification de l'espace disponible.Les quatre communes les plus denses sont les Sables-d'Olonne (17.9%), suivie de Nantes (17.7%), Montaigu (15.6%) et Le Mans(15,3%). A l'inverse, les quatre communes les moins denses (moins de 0,3%) sont la-Breille-les-Pins dans le Maine et Loire, La Bosse dans le Perche et la commune boisée de Château-l'Hermitage au sud du Mans.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
## L'emprise au sol d'un habitant des Pays de la Loire varie de 1 à 15 selon les communes.
|
|
## L'emprise au sol d'un habitant des Pays de la Loire varie de 1 à 15 selon les communes.
|
|
|
En 2017, la Vendée (153m²/hab) et la Mayenne (160m²/hab) consomment 1,7fois plus de surfaces par habitant que la Loire-Atlantique (92m²/hab).La moyenne régionale a augmenté de 2,5 m²entre 2012 et 2017, passant de 115 à 117,5m²/hab. Hormis en Loire-Atlantique, latendance est partout à la hausse.Dans le rural et la périphérie des grandscentres urbains (cf. typologie page 15),l'emprise au sol rapportée au nombred'habitants est plus élevée, tout comme cellerapportée au nombre de logements. A l’inverse, dans les centres urbains et leurs proches banlieues, les ratios sont les plus faibles enraison du dynamisme démographique. Sainte-Gemme_sur-Loire, dans la banlieue d’Angers fait cependant exception (225 m²/hab), enraison notamment de l’importance des surfaces dédiées aux serres (bâti léger).
|
|
En 2017, la Vendée (153m²/hab) et la Mayenne (160m²/hab) consomment 1,7fois plus de surfaces par habitant que la Loire-Atlantique (92m²/hab).La moyenne régionale a augmenté de 2,5 m²entre 2012 et 2017, passant de 115 à 117,5m²/hab. Hormis en Loire-Atlantique, latendance est partout à la hausse.Dans le rural et la périphérie des grandscentres urbains (cf. typologie page 15),l'emprise au sol rapportée au nombred'habitants est plus élevée, tout comme cellerapportée au nombre de logements. A l’inverse, dans les centres urbains et leurs proches banlieues, les ratios sont les plus faibles enraison du dynamisme démographique. Sainte-Gemme_sur-Loire, dans la banlieue d’Angers fait cependant exception (225 m²/hab), enraison notamment de l’importance des surfaces dédiées aux serres (bâti léger).
|
| ... | | ... | |