| ... | ... | @@ -105,6 +105,15 @@ Les communes, dont l’emprise au sol des bâtiments est restée stable, sont pe |
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[comment]: <> (carte communale de l'évolution entre 2014 et 2019 de l'emprise au sol du bâti)
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## La bande littorale se densifie.
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Dans les communes littorales souvent déjà denses, l’emprise au sol du bâti a augmenté de 168 hectares en 5 ans. Cette croissance est supportée pour les 3/4 par les communes littorales vendéennes.
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Les villes littorales, en particulier, parviennent encore à densifier l’habitat existant au sein de l’enveloppe urbaine existante. En cinq ans,l’emprise au sol de Saint-Gilles-Croix-de-Vie en Vendée,par exemple, a augmenté de 7 hectares par densification et utilisation des dents creuses (cf. vue aérienne le long de la Jaunay). Parallèlement, la population municipale a augmenté, entre 2010 et 2015, de 290 habitants (343 en comptant ceux comptés à part). Les territoires, où une unité est très consommatrice de sol, accentuent leur différence. Pondérer les variations d'emprise au sol en fonction du nombre d'habitants, de logements et de l'espace disponible témoigne, sur une période de cinq ans, l’accentuation des comportements.
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## Plus l'on s'éloigne d'un centre urbain, plus une unité (logement ou habitant) a consommé de sols entre 2012 et 2017.
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Autrement dit, moins le territoire est dense, plus la croissance de l'emprise au sol rapportée à l’habitant ou au logement a été forte. Le littoral fait cependant exception à ce principe. Qu'elle soit rapportée au nombre d'habitants et dans une moindre mesure au nombre de logements, la variation de l'emprise au sol du bâti reste toujours élevée.
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[comment]: <> (cartographie communale du taux de croissance de l'emprise au sol du bâti entre 2014 et 2019)
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# 4. Efficacité
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[comment]: <> (chiffres des commentaires à suivre à mettre à jour)
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